Le regret est de ne pas pouvoir rester à Saigon.
Il manque à tout celui qui s'est fait piquer par cette fièvre jaune.
Les odeurs des fleurs, les lumières aux angles structurés. Cette façon ondulante d'atteindre la nuit en ayant les bras nus.
La poésie de Saigon va même vous embaumer derrière la jungle des klaxons.
Le Vietnam est magnifique.
Saigon est envoutant.