Cette circulation infernale nous hypnotise car nous n'avons pas l'habitude.
Seulement, lorsque tu montes dans les bâtiments tu trouves des perles au hasard, un petit café tranquille, joliement décoré, un artiste avec ses toiles qui débordent dans le couloir.
Trés souvent il parle anglais.
Mais il y a les vendeurs ambulants encore. Je dis encore, car ils sont chassés, ainsi bientôt, le charme de cette grande mégalopole ne sera plus le même que le Saigon que nous avons connu.
Ces vendeurs ou plutôt ces vendeuses sont une richesse dans la tradition. Il suffit juste d'arréter un étudiant pour traduire les questions que vous voulez lui poser.
Ça fonctionne trés bien.
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